Nadine Herelle : Souffrance, dÉprime, depression paris 2

DE LA SOUFFRANCE AU CHANGEMENT ET A LA GUÉRISON

Guérir de la souffrance psychique

Si tu fais ce que tu as toujours fait, tu obtiendras ce que tu as toujours obtenu. Dalaï Lama

Sortir de la confusion

La souffrance, chaque personne la rencontre et la vit dans sa vie. Guérir de la souffrance psychique, c’est cheminer pour trouver apaisement et clarté.
Nous avons tous et toute envie de ne plus souffrir à chaque déception, à chaque frustration, à chaque manque. Pourtant le manque d’amour, le manque d’attention, de compréhension ou de considération, nous provoque souffrance et mal être. Ces moments douloureux nous les ressassons, qu’ils soient la conséquence de souffrance au travail, familiale ou personnelle. Chaque blessure psychique peut se  réactiver avec insistance. Ainsi, nos pensées peuvent devenir autodestructrices, culpabilisantes ou agressantes et notre cerveau ne plus arriver à faire le tri.
Guérir de la souffrance psychique nous invite à nous rapprocher de nos confusions qui font aussi nos difficultés. En effet, la confusion génère de la souffrance, en ce sens que nous savons que nous souffrons, nous savons  parfois pourquoi nous souffrons, mais nous ne savons pas comment l’arrêter et nous en libérer. En fait, nous ne comprenons pas vraiment le cheminement interne de nos pensées et de nos mécanismes psychiques. Pourtant, il est important de comprendre, face à la récurrence de certaines pensées des années après, comment elles se réactivent, ou plutôt comment nous les réactivons. La façon dont nous allons y faire face va déterminer notre bien être ou notre mal être.
Guérir de la souffrance psychique c’est également mettre de l’ordre dans nos pensées, afin de décoder nos confusions et la manière dont elles ont pris place, pour harmoniser corps et esprit.

La confusion prend racine en nous quand notre manque de curiosité en nous-même s’installe.

SOUFFRANCE FAMILIALE

Lors d’une séparation, d’un divorce, certaines souffrances sont réactivées et certaines peurs également, comme la peur de l’abandon, la peur du lendemain, la perte de confiance en soi. Mais la souffrance familiale ne s’arrête pas au problème de couple.
La venue d’un enfant malade, la perte d’un enfant ainsi que le deuil d’un parent proche contribue à déstabiliser l’équilibre de la famille, provisoirement ou dans la durée.

Guérir de la souffrance demande de la patience et de la détermination, en  tenant bon, face aux difficultés administratives, physiques et psychologiques.

• accompagnement lors des difficultés
• maladie, deuil, 
• Adoption, fiv
• difficultés d’être parent
• traumatisme
• séparation, divorce 

SOUFFRANCE AU TRAVAIL. BURN OUT

Accompagnement dans les difficultés liées au travail sur Paris2

Epuisement émotionnel

 L‘épuisement émotionnel est le symptôme typique du burn out.
Cet aspect de la souffrance au travail  est de plus en plus reconnu et pris en compte par les entreprises et les services de relations humaines. Mais la vigilance du salarié face à un surcroît de travail qui dure dans le temps doit toujours se faire. Cette écoute de lui-même est nécessaire surtout quand ce surcroît, qu’il pense être momentané, devient son quotidien. Même si c’est une façon de se mettre en valeur ou de montrer ses capacités, le salarié pense trop souvent qu’il saura y faire face. C’est  sans compter  l’épuisement qui peut en résulter. Il met à l’épreuve ses limites avant de se laisser glisser dans une spirale infernale qu’est le burn out.
Guérir de la souffrance au travail, c’est accepter et reconnaître ses propres limites. C’est également apprendre à déléguer, à communiquer sur ce qui devient difficile. C’est  apprendre à dire « non » sans agressivité, sentir le moment pour exprimer ce qui empêche le bon déroulement et la qualité du travail. 
Guérir de la souffrance au travail demande de remettre tout à sa juste place.
Car le burn out n’est pas un état, c’est un processus et son évolution est très lente.
Il s’agit donc d’apprendre à être vigilant au quotidien.

Souffrance au travail et dépersonnalisation;

Dans un état de mal être, de surmenage, de fatigue, la personne est plus vulnérable à ce qu’elle  reçoit, que ce soit un mot déplacé, un ordre, des critiques, une non communication ou un silence pesant.  Tout est à vif et la demande d’écoute et de reconnaissance est attisée.
Or, si certaines hiérarchies sont très sensibles au bien être des personnes de l’entreprise, certaines autres peuvent en profiter pour augmenter leurs exigences, leurs critiques et leur manque de considération allant jusqu’au harcèlement.
La souffrance au travail nous demande parfois de faire face à des personnalités toxiques.
Face aux personnalités toxiques, nous devons nous protéger et surtout éviter les pièges qui  pourraient nous déstabiliser. Comprendre et adapter notre comportement, sortir de l’impact émotionnel ou de la peur sont de puissant alliés. Ainsi travailler sur la confiance en soi  augmente nos possibilités d’action différente.
Ainsi, vous pourrez retrouver la pleine possession de votre esprit et choisir de faire face autrement aux situations.

Faire face aux personnes qui harcèlent demande une grande détermination personnelle. Il est très important d’être aidé(e) pour déjouer ces manipulations et ne pas perdre pied.

Harcèlement moral au travail

Il existe plusieurs types de harcèlements, les brimades, l’humour déplacé et répété à connotation raciste, sexiste, les pratiques d’isolement, les attitudes de dénigrement ou de surveillance excessive. Le harcèlement moral peut être commis par la hiérarchie ou par des collègues.
Ne restez pas seul(e), parlez en,faites vous aider.

Perte d’emploi

Le plus important pour surmonter une perte d’emploi est de garder confiance en soi et en ses capacités. C’est aussi accepter de regarder notre potentiel, même si nous ne voyons pas tout seul(e).
C’est enfin sortir de cette notion d’échec qui paralyse et démotive.

Comment rebondir après un harcèlement ou une perte de travail et se reconstruire ?

C’est dans les difficultés de la vie que nous prenons conscience de nos forces insoupçonnées. Si nous nous sentons victime, il est important de « rencontrer » la victime en nous avec beaucoup de douceur, de compassion et d’amour pour se détendre, même si un sentiment d’échec ou de culpabilité reste encore à vif. Guérir de la souffrance au travail après un harcèlement, c’est apprendre à se détendre, à cheminer en pleine conscience pour retrouver ses ressources afin se relier profondément et faire la paix avec nous-même.
L’accompagnement  thérapeutique permet cette aide nécessaire pour trouver ou retrouver clarté d’esprit, confiance et potentiel d’action; meilleur chemin de réconciliation avec nous-même.

DEPRIME ET MAL ETRE

Souffrance psychique liée au mal être ou à la déprime

Le mal être est insidieux. Il se cache même derrière les personnes sûres d’elles, ou qui paraissent très fortes. Il nous happe à des moments de vie inattendus, même quand tout va bien. La déprime est une alerte. Alerte que quelque chose ne va pas, ne va plus, commence à dysfonctionner ou ne plus être en adéquation avec nous-mêmes.
Quand nous entrons dans des phases un peu sombres, que notre quotidien génère systématiquement de l’ insatisfaction, la déprime n’est pas loin.

Déprime et consultation paris 2 ième

Guérir de la souffrance psychique que génère la déprime

La déprime est une souffrance dont il est nécessaire de s’occuper dés ses premières manifestations.
Nous avons toutes et tous des manières différentes de faire face aux situations de la vie qui nous dépriment. Parfois nous la taisons, nous nous renfermons jusqu’à nous murer dans un mutisme délibéré, douloureux même pour l’entourage. Parfois nous exultons notre mal être par la gestuelle, l’excès de parole, par la plainte ou le ressassement. Parfois, nous essayons de poser des mots sur des faits, tout en essayant de gérer nos émotions au mieux de nos possibilités du moment. Lorsque nous sommes déprimés c’est déjà une épreuve. Epreuve pour y faire face, pour rester lucide et continuer à agir de manière la plus adéquate. Le mal être fait souffrir, nous cherchons les moyens de nous en libérer. Mais parfois, sans y prendre garde, nous accentuons cet état de mal être plutôt que de l’alléger; ainsi nous laissons la déprime persister.

DÉPRIME ; OSEZ EN PARLER 

Parler de la déprime, s’exprimer sur notre mal être, s’ouvrir pour ne plus rester seul(e) c’est osez en parler à un psychothérapeute.
Nous savons par expérience que les épreuves de la vie engendrent de la souffrance mêlée de douloureux ressentis. Ce n’est que progressivement, que nos perceptions changent, se modifient pour pouvoir faire place à une énergie reconstructrice. Le temps, comme la parole est notre plus grande alliée. Osez en parler est essentiel.
Il y a des alternatives à ces moments de déprime et de souffrance pour la métamorphoser.
Car, si nous ne choisissons pas d’être dans la souffrance, nous pouvons choisir d’y rester ou pas.

Ecouter les moments de déprime

Quand nous vivons un moment de déprime, nous perdons confiance en nous, et quand ces moments se répètent, il va s’agir de découvrir ou de redécouvrir notre potentiel à aimer et à vivre.
Il est donc essentiel de s’y relier même s’ils paraissent à priori inconséquent.
Ce sont ces petites manifestations de baisse de moral auxquels souvent nous ne prenons pas garde et qui ont du sens. Prenons garde à ne pas les laisser s’installer pour comprendre leur cheminement.Quand nous observons que nous baissons les bras un peu trop souvent, de façon récurrente ou de plus en plus automatique, nous pouvons nous dire qu’il est important de consulter. Quand nous sommes sujets également à des mouvements d’humeur, de nervosité, de pessimisme, de ‘ras le bol’, quand nous commençons à manquer d’enthousiasme, ce sont également des indicateurs de consultation, comme quand la déprime est récurrente.
Il  suffit souvent d’une aide ponctuelle pour aller mieux.

Dépression – états dépressifs

Consultation psychologique psy.paris.2  et Consultation psycho-thérapeutique lors d’un état dépressif.  Psy.paris.2

Dépression, état dépressif: osez en parler

Autant la déprime est passagère et sans gravité, même si elle n’est pas à négliger, autant la dépression marque un pas supplémentaire dans la détresse. Quand un état dépressif se déclare, beaucoup de personnes prennent des médicaments.
Mais la prise d‘antidépresseurs demandent conjointement le plus souvent une introspection personnelle. La dépression nécessite un accompagnement thérapeutique personnalisé et approprié pour restaurer l’estime de soi et s’ouvrir autrement à la vie.
Ces moments où nous sommes en dépression nous oblige à du repos mais également à  nous poser dans un endroit de parole thérapeutique et de réception. S’accorder un espace temps, c’est se relier à ce qu’il y a de fondamentalement bon, ouvert et vivant en nous. Car dans ces états dépressifs, l’esprit est perdu, le corps est fatigué, la parole n’est plus ajustée ni reliée du centre de nous-mêmes.

Quand une chose dysfonctionne, c’est l’être qui dysfonctionne quelque part, jusqu’au fond de ses contradictions. Quand les nerfs sont mis à rude épreuve, parfois ça craque, le trop ne tient plus, la dépression arrive.
Le cadre thérapeutique permet de sortir de nos enfermements et de récupérer de la ressource.

Dépression et souffrance psychique

Nous connaissons souvent la ou les raisons de notre souffrance. Le lien entre un état dépressif et des problèmes familiaux, professionnels ou personnels sont souvent constatés mais nous sommes bien démunis lorsqu’il s’agit de l’écouter autrement pour que l’état dépressif se transforme en un mieux être. Guérir de la souffrance psychique et de la dépression, c’est tout doucement faire que la parole sorte de la plainte et  prenne des dimensions petit à petit génératrices et transformatrices. La dépression ou l’état dépressif ainsi que ses symptômes disparaissent peu à peu.

Guérir de la souffrance, guérir de la dépression c’est possible. 
 
Les séances individuelles ou les groupes vous permettent d’être soutenu(e), accompagné(e), entouré(e) afin de libérer cette parole, de transformer votre esprit, et faire que les souvenirs ne soient plus des freins à votre action.

Restaurer l’estime de soi

L‘accompagnement thérapeutique bienveillant permet de restaurer tout doucement l’estime de soi et de relever la tête. Cet accompagnement personnalisé  permet de nous relier à nos potentialités pour cicatriser nos blessures. Le cadre thérapeutique est structurant et permet de nous sortir de nos enfermements et de récupérer de la ressource.

…Si vous n’êtes pas ouvert au changement, alors vous serez malheureux. … DalaÏ Lama 

Certains changements ne peuvent s’opérer sans épreuve, mais les épreuves peuvent se faire en douceur.
Car tout déséquilibre psychique qui dure est le germe d’une difficulté plus importante à venir, susceptible de générer de la souffrance.

TRANSFORMER LA SOUFFRANCE 

Guérir de la souffrance, c’est tout doucement trouver les moyens de la transformer dans les moments de déprime, de dépression ou de mal être.

Entendre les signaux d’alarme qu’ils soient physiques ou psychiques.

Vous devenez irritable, en colère ou vous vous retranchez dans vos pensées en pensant que vous n’êtes bon(ne) à rien, démotivé(e), ou en accusant les autres de tous vos maux, vous vous sentez menacé(e) ou déstabilisé(e). Vous vous isolez de votre famille de votre conjoint(e), vous commencez à avoir des troubles musculo-squelettiques, vous travaillez mécaniquement , votre sommeil devient non réparateur, vous êtes stressé(e) et l’image de vous-même ne vous convient plus.,voilà quelques alarmes qui peuvent vous aider à consulter.

Comprendre la souffrance psychique

Nos systèmes de pensées sont générateurs de souffrance quand ils tournent en boucle soit sur une question ou une réponse insatisfaisante, soit sur des certitudes ancrées et inadéquates dont nous n’arrivons pas à nous débarrasser. Nous n’aimons pas constater que des événements de vie nous échappent et soient hors contrôle. Nous souffrons de ce non contrôle sur l’autre, sur nous, sur les événements. Il est donc important de sortir de cette incapacité qu »elle soit provisoire ou non.  Agir et  réfléchir sur ce qui nous enferme est une façon de ne plus laisser la détresse nous envahir au quotidien, et sortir de l’isolement.
Savoir que ce qui nous fait souffrir ne sont pas les choses ou les événements tels quels, mais ce que nous en faisons.

Nous passons beaucoup de temps à vouloir ignorer notre souffrance. L’acharnement que nous déployons à ne plus y penser, pour nous en débarrasser, l’augmente d’une façon inadéquate et nous fatigue.

Accueillir la souffrance, pour s’en libérer.

…avec bienveillance, respect et curiosité…

Nous cherchons des réponses à nos questions; Pourquoi c’est arrivé? Pourquoi nous ? Et nous y associons parfois des remords, des regrets, de la culpabilisation, et cela renforce notre état déjà fragile.
Nous souffrons de la perte d’un être cher ou de ce qui nous parait injuste dans la vie. Nous souffrons de nous sentir démuni(e) face à certaines situations dont nous n’avons plus de contrôle. Notre souffrance psychique s’accentue quand nous ne nous sentons plus à la hauteur, quand nous ne nous faisons plus suffisamment confiance pour réussir ce que nous entreprenons ou souhaitons entreprendre. La sensation de ne pas être aimé(e) suffisamment reste également douloureux.
Nous oublions, dans ces moments douloureux, d’être bienveillant(e) avec nous-mêmes.

Thérapie et souffrance psychique votre rendez vous Paris2

La souffrance psychique fait un chemin très particulier en chacun de nous et n’a rien à voir avec une compréhension intellectuelle. Guérir de la souffrance psychique, c’est apprendre à cheminer de manière pleinement consciente. C’est aller profondément en nous pour que la transformation s’effectue. Comme chaque histoire est personnelle, je vous invite à poser un autre regard sur votre souffrance. L’accueillir pleinement, toucher avec précision cette immensité en vous qui ne demande qu’à lâcher prise, enfin sortir de ce que la souffrance contient d’enfermement et de répétition.

Transformer notre souffrance nous demande quelques étapes.
-Accueillir la souffrance c’est d’abord respecter ce qui en nous souffre. 
-Etre curieux de la souffrance c’est cheminer avec ce comment elle nous parle, ce que nous en avons à dire et ce que nous ressentons.
-Mettre des mots et pratiquer la patience, sans s’épuiser, permet à la curiosité de s’éveiller et au  fonctionnement du cerveau de se modifier.

La curiosité bienveillante est une façon nouvelle de s’intéresser à ce qui nous arrive dans la vie. Elle porte en elle les germes du changement.
La patience accompagnée d’une belle et vaste écoute, nous permet de ne pas baisser les bras. Quand nous pratiquons la patience accompagnée d’une parole plus claire, c’est la manière la plus efficace de préserver la paix de l’esprit. 

L’accompagnement en séance individuelle aide à aller mieux en allant à notre rythme.
L‘accompagnement  en groupe permet d’échanger, d’interagir avec les autres personnes et s’ouvrir aux différents enseignements,  pour plus de prise de conscience liée à l’expérimentation.

La thérapie pour guérir nos blessures intérieures

La thérapie; guérir la souffrance pour un mieux être

Souvent nous ne pouvons pas faire l’impasse d’une introspection profonde. Et quand notre « sac à dos s’allège, c’est tout notre être qui respire mieux.
Nous avons tous et toutes un potentiel de mieux être dont nous soupçonnons l’existence et que la thérapie révèle. Quand nous allons mal, quand nous sommes en déprime ou en dépression,  comme dans toutes les épreuves  de la vie, nous sommes confronté(e) à nos limites. Ce sont ces limites dont il est question en thérapie.
Les états de souffrance comme les états dépressifs sont des états qui nous mettent mal mais peuvent nous révéler à nous-même.

Pour développer ce potentiel et l’activer, votre participation active, honnête  et authentique est nécessaire.

Trois indications de départ sont à privilégier:

• D’abord arrêter de penser que quelqu’un d’autre peut faire les choses à notre place, penser à notre place. Il va donc s’agir de sortir d’une certaine « passivité » avec soi-même.
• Puis ensuite, d’ouvrir notre esprit pour se rapprocher en douceur de ce face à face avec nous-même. Parfois nous nous rendons compte que même si les situations changent, les problèmes se répètent et de la même façon.
• Enfin, d’accepter d’être dans l’expérience de l’instant, pleinement disponible pour la séance, afin d’ expérimenter et recevoir  les bienfaits multiples de ce cheminement